525 - La Plage
Je suis la demeure des murmures de ta pudeur.
Dépose ici sans crainte ton sensible.
Je le guette : il est mon enchantement.
Ton épaule en retour m’accueille.
Ma fragilité t’écrase.
Relève toi. En moi, tu danses bien.
De nous savoir, marchons, côte à côte, alcyoniens, sur cette plage où vont mourir les je t‘aime jamais dits.
Copyright © Arthémisia - novembre 2007
Avec : Copyright © Arthémisia - février 2006
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