650 - Brèves d'avril 2008

On ferme avril. Je retiens ça....Ce que vous êtes choux...

« La Beauté, c'est l'énigme parfaite. »
@ Bleu Virus

"Longue et patiente est son oeuvre. Elle a son heure."

@ .

«... j'aime le silence

de ta peau.»

@ Vallisnéria

"...the fish does not speak, it is not dumb..."

@ Amanieu

"Purée de couple :
Je te foutrai des lignes et des mots qui envahiront ta chambrée ..."
@ MIKEL

« La conscience d'être tente d'apprivoiser la vie pour abstraire sa finalité.
Si l'éternité fait partie de notre mémoire, notre passé est le seul regard sur cette éternité.
Le futur nous le connaissons, c'est cette finalité. »
@ Entité

« Un bon coup d'oeil vaut mieux qu'une mauvaise impasse »
@ Matou persan

Comments

[orchis-mauve]

Ah! comme je voudrais qu'on me chuchote cette jolie phrase :"j'aime le silence de te peau"Et je répondrais:"mais mon coeur lui bavarde de tendres choses"bises

[Arthémisia]

Je te le souhaite de tout coeur mon Orchis même .......si je te sais moins bavarde que moi!
Rires!
Bises
A.

[Catherine]

Bonjour Arthi, Si je faisais un pop-pourri des meilleurs commentaires du mois sur mon blog, j'y mettrais en premier lieu celui que tu m'as laissé aujourd'hui ! (Je suis  d'accord avec toi et je viens de l'affirmer haut et fort dans mes coms)Chez toi, le com que je préfère c'est celui de....Mikel !Je te souhaite une bien agréable soirée.

[Arthémisia]

Je suis très heureuse de ta réaction à mon comm. d’autant que je
viens d’en remettre une deuxième couche. C’est un sujet qui, disons, me tient à cœur !


Eh oui, Mikel… Je t’invite à aller lui rendre visite dans son
univers décalé, riche, cultivé, plein de poésie, où il cultive un art subtil où se mêlent les images mentales, les métaphores et un surréalisme affirmé tantôt rose dragée et tantôt très
fuligineux. J’adore !


Belle soirée à toi aussi.


Je t’embrasse.


Arthi

[.]

C 'est énôrme ce que tu dis là, à la presqu'heure "des mers enlevées", A. Tu en fais exprès ?



Soir historique
 En quelque soir, par exemple, que se trouve le touriste naïf, retiré de nos horreurs économiques, la main d'un maître anime le clavecin des prés ; on joue aux cartes au fond de l'étang, miroir évocateur des reines et des mignonnes, on a les saintes, les voiles, et les fils d'harmonie, et les chromatismes légendaires, sur le couchant.
Il frissonne au passage des chasses et des hordes. La comédie goutte sur les tréteaux de gazon. Et l'embarras des pauvres et des faibles sur ces plans stupides !
À sa vision esclave, — l'Allemagne s'échafaude vers des lunes ; les déserts tartares s'éclairent — les révoltes anciennes grouillent dans le centre du Céleste Empire, par les escaliers et les fauteuils de rocs — un petit monde blême et plat, Afrique et Occidents, va s'édifier. Puis un ballet de mers et de nuits connues, une chimie sans valeur, et des mélodies impossibles.
La même magie bourgeoise à tous les points où la malle nous déposera ! Le plus élémentaire physicien sent qu'il n'est plus possible de se soumettre à cette atmosphère personnelle, brume de remords physiques, dont la constatation est déjà une affliction.
Non ! — Le moment de l'étuve, des mers enlevées, des embrasements souterrains, de la planète emportée, et des exterminations conséquentes, certitudes si peu malignement indiquées dans la Bible et par les Nornes et qu'il sera donné à l'être sérieux de surveiller. — Cependant ce ne sera point un effet de légende !Arthur Rimbaud

[Arthémisia]

Ce serait trop beau si j'avais fait exprès...non... trop laid!
Mais aujourd'hui la mer habite ma pensée énÔrmément, peut être encore plus que d'ordinaire..pour des raisons professionnelles qui au départ n'en étaient pas...
Oups... je ne suis pas claire du tout!!!
Disons que ma pensée était Elle... et qu'il m'a fallu un jour la verbaliser.De cette verbalisation  est née un travail de longue haleine dont la finalisation a eu lieu aujourd'hui.

Quoiqu'il en soit ce fut un long parcours, et surtout un approfondissement de mes nécessités marines qui ne sont pas clauses.


Merci pour ce Rimbaud que je ne connaissais pas.
Je t'embrasse
Arthi

[.]

Ce n'était pas d'un sentiment...j'ai retrouvé...Nous parlions de la mer !

[Arthémisia]

La mer est un sentiment, fort et profond....

[.]

De quoi parlions-nous au juste ?..J'ai un peu oublié..De l'oeuvre de quoi ?Bises

[Arthémisia]

Pfffff!...Cervelles de moineau que nous avons ...: moi non plus...mais je sais que sur le moment c'était
important.
D'un sentiment je crois...
bises, bien sûr.
A.

[bleu virus]

...enigme qui me poursuis ! Trés belle intention ces petites phrases que tu restitues, j'ai apprécié "entité"! 

[Arthémisia]

Console toi ! Tu n'es pas le seul...ni à apprécier "entité"!